Les praires se comptent par paires et le temps est à la haine.
Oui, cette semaine point de réflexions existentielles ou alors bien plus terriennes. En effet, je cherche à engager des costauds pour régler son compte à ce maudit correcteur d’orthographe qui crée des tensions, des quiproquos, des conflits, des approximations et des faux sens, des erreurs sur des fautes et des fautes sur les erreurs.
Qui est-il? Qui le paye? Est-ce qu’il gêne ses parents, sa famille, ses collègues avec ses propositions indécentes, son antipathie marquée pour les noms contenant des k, des w et des y, son refus de toute originalité dans les noms propres ou les prénoms autres que « bien de chez nous »… ?
Subit-il depuis longtemps une tension existentielle avec les mots anglais? Dans tous les cas votre correcteur d’orthographe est un vrai faux ami alors méfiance, défiance, distance.
Je ne sais quel correcteur orthographique vous utilisez, mais j’utilise « ANTiDOTE 10 » (de la société Druide).
Il est évalué par les spécialistes comme le meilleur, de loin en comparaison avec les autres. J’en suis parfaitement satisfait.