Aujourd’hui c’est vendredi. Les cachalots sont au boulot et le temps est à la réflexion.

Aujourd’hui c’est vendredi. Les cachalots sont au boulot et le temps est à la réflexion. Alors pardon ma réelle et simpliste préoccupation concernant les réseaux sociaux. L’une de nos difficultés collectives vient d’un déséquilibre grave qui s’immisce de plus en plus dans nos esprits. Et si les réseaux sociaux qui envahissent nos quotidiens étaient d’abord des machines à critiquer, condamner, « basher », décrédibiliser.

Qui s’affirme satisfait d’un achat, d’un travail, d’amis ou de collègues, de la paix en Europe, de la sortie de la misère de continents ? Une très petite population et sans commune mesure avec ce haut-parleur qui aide des foules entières à critiquer, détruire, blesser, ostraciser, souvent dans l’ombre et l’anonymat. Twitter ou Facebook, ces formidables créateurs de liens, sont devenues surtout des machines à dégueuler de la haine, du mal et du morbide… Dans une certaine indifférence, comme si c’était finalement leur normalité.

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