Le lien Vaxzevria-thromboses potentiellement mortelles est établi

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Or le bénéfice-risque dont se parfument les médecins est faux, dès lors que le risque en question est… mortel !

Olivier Magnan, rédacteur en chef

Ah ! que j’aimerais ne pas revenir pour la énième fois sur le cas AstraZenaca ! Mais en l’occurrence, comment résister à ce besoin, non pas de pousser un cri de victoire, après le 4e éditorial consacré au même sujet, car bien au contraire il s’agit d’un échec, mais de revenir sur cette notion apparemment sans appel de bénéfices-risques que les vaccinateurs « quoi qu’il en coûte » opposent encore et toujours à la disqualification pure et simple du vaccin anglo-suédois.

Sitôt le premier décès « suspect » par thrombose cérébrale, il m’était apparu que la seule décision envisageable était de suspendre toute nouvelle inoculation potentiellement mortelle. La France avait eu raison, avec une poignée de pays d’Europe, dont l’Allemagne, d’en interdire l’usage. Hélas ! ce ne fut que pour 48 heures. Car le chœur des médecins et autres scientifiques bien-pensants se mit à ressembler à un tollé nommé BÉNÉFICES-risques. Des millions de vies « sauvées » (si le vaccin protège bel et bien) contre une poignée de malchanceuses (en majorité) et malchanceux. Mort·es pour la science, sans doute ? Car c’est désormais officiel : l’Agence européenne du médicament établit le lien de cause à effet entre l’administration de l’AZ-Vaxzeria et les – rares – embolies mortelles. En cause, sans doute, une prédisposition sanguine des malheureux·ses vacciné·es. Pire : la Haute autorité de santé recommande que la seconde injection chez les personnes déjà vaccinées à l’AZ soit celle du Pfizer ou du Moderna ! Quelle claque pour la laboratoire ! Quelle alerte manifeste de la part de la Haute autorité française !

Depuis quand la médecine – serment d’Hippocrate en bandoulière – tolère-t-elle qu’une substance puisse donner la mort, fût-ce exceptionnellement ? Comment peut-on passer par pertes et PROFITS une seule de ces vies ? Au 21 mars, 18 sujets, de très jeunes à pas vieux, pour ce que l’on en sait, ont succombé, en lien direct avec le vaccin, sur 169 cas de thrombose cérébrale et 53 de thrombose abdominale (chiffres d’EudraVigilance). Et sur, allez, 34 millions de vacciné·es.

D’où le refrain apparemment rationnel de ces obsédés du vaccin tous azimuts, continuons avec l’AstraZeneca. À ce détail près : quand on parle de bénéfices-risques, en médecine et ailleurs, mais avant tout en médecine, on met de côté forcément (à moins de trahir son serment) le risque… mortel.

L’AstraZeneca-Vaxzevria pourrait se targuer d’un effet bénéfices-risques en sa faveur si ses effets secondaires se limitaient à des manifestations diverses et variées, même gênantes, mais pas létales.

Plus de 47 vaccins sont en cours d’essais cliniques dans le monde. Les vaccins non létaux tels Pfizer ou Moderna, espérons-le bientôt Johnson & Johnson et les suivants, seront sous peu en quantités suffisantes pour que soit tenu le calendrier vaccinal auquel s’accrochent les autorités dans ce pays (et les autres).

Un seul mot d’ordre : refuser ce vaccin. Vous connaissez vos prédispositions sanguines ? Non ? Abstention ! Et tant pis pour les amateurs de loterie avec la vie.

Olivier Magnan

PS : et à présent, interdit dans certains départements français pour cause d’inefficacité sur certains variants ! Et à Tours, la Dr Annie-Pierre Jonville-Baré, responsable du CRPV de Tours et présidente du réseau national des CRPV, s’émeut : « On s’attendait à cette augmentation de signalements avec le vaccin AstraZeneca mais pas à ce point ». N’en jetons plus ! Dehors ! AstraZeneca ne doit plus toucher la moindre royaltie sur son vaccin tueur à moitié efficace !

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